Un article en vidéo, pour les auditifs ! Allez vite regarder, likez, et abonnez vous !
Pour rappel: voici l'article correspondant à la vidéo :
Le coaching scolaire s’adresse à tous les adolescents à partir de 12-13 ans, et aux jeunes adultes lorsqu’ils sont encore étudiants. Pour les enfants plus jeunes, il faut s'orienter vers le coaching parental.
En effet, lors d’un coaching scolaire, on fait travailler l’adolescent ou l’étudiant sur ses valeurs. Ces dernières sont acquises dès l’enfance et transmises par la famille. On a tous une dizaine de valeurs. Avant l’âge de 12-13 ans, voire 15 ans pour certains, nos valeurs sont en construction. Les valeurs sont le squelette de notre être psychique, ce pour quoi on se lève le matin, ce pour quoi on est prêt à se battre. Elles se caractérisent par un nom, comme par exemple, la liberté, l’amour, la créativité, l’engagement, l’amitié, etc. C’est en faisant prendre conscience au coaché de ses valeurs que l’on peut obtenir le meilleur de lui. Ce travail est fondamental en coaching.
Le coaching scolaire s’impose comme une solution fiable, car dans un contexte de classes chargées, de course à l’excellence, et de jeunes « malades de l’école », les parents, les adolescents et les étudiants, sont en demande d’accompagnements personnalisés, afin de progresser efficacement, avec des stratégies propres à chacun, et surtout en toute confiance.
Il répond à de nombreuses demandes, comme : JE VEUX :
- Connaître mon profil d’apprentissage pour travailler efficacement
· Apprendre à apprendre
· Travailler avec plaisir
· Surmonter l’échec
· Trouver l’orientation qui me correspond vraiment
· Trouver mon talent pour mieux m’orienter
· Me donner les moyens de réussir
· Apprendre à gérer mon temps efficacement
· Mettre en place des stratégies en lien avec mon trouble de l’apprentissage (dyslexie, dyspraxie, dysorthographie, dyscalculie…)
· Mettre en place des stratégies de travail en lien avec mon trouble déficitaire de l’attention
· Mettre en place des stratégies de travail en lien avec ma précocité
· M’organiser de façon pertinente
· Donner du sens à ma scolarité
· Apprendre à gérer mon stress
· Mettre en place des révisions efficaces en vue de mon examen
· …
Comme énoncé plus haut, le coaching scolaire se base sur les valeurs, mais aussi sur les croyances, les limites et les besoins du jeune, afin qu’il puisse atteindre son objectif, en cherchant des solutions, qui lui sont propres, et en optimisant ses ressources.
Les croyances sont fondamentales également en coaching. Ce sont des idées vécues comme vraies par le coaché, mais qui ne le sont que pour lui. Elles peuvent être très pénalisantes. Par exemple, dire « je suis nul en maths » peut être une croyance, si cela n’est pas avéré. Il est évident que si aucun travail n’est fourni, on ne peut qu’être nul en maths. C’est au coach de vérifier cela par son questionnement. Si c’est une croyance, il faut alors la ramollir, afin de faire avancer le coaché.
Si c’est un fait avéré, par exemple, dans le cas d’un élève qui a toujours travaillé de façon optimale en maths, mais qui n’a jamais eu de bons résultats, alors c’est ce qu’on appelle en coaching une limite. Dans ce cas-là, il faut la contourner.
Dernier fondamental du coaching scolaire : les besoins. De quoi le jeune a-t-il besoin pour optimiser son potentiel, pour répondre à sa problématique, pour atteindre son objectif ? Il faut savoir identifier ses besoins, en prendre conscience, pour pouvoir y répondre, et mettre en place des plans d’action efficaces.
Ceci est la base du coaching scolaire : savoir optimiser son potentiel. Mais comment le faire si les bonnes questions ne sont pas posées ? Par exemple, en tant que coach, je cherche chez l’adolescent ou l’étudiant son profil d’apprentissage, en déterminant, entre autres, s’il est auditif, visuel ou kinesthésique. Lorsque l’on connaît le sujet, on sait à quel point il est inefficace de faire travailler une personne auditive, en lui faisant faire des fiches de révision.
Là est la force d’un coaching ! En prenant conscience de qui il est, le coaché va pouvoir être plus efficace dans son travail. C’est un mécanisme d’analyse de soi qu’il va mettre en automatique, c’est-à-dire qui va faire partie de lui.
Pour conclure, je dirai combien il est important dans la vie d’un jeune, d’avoir fait l’expérience d’un coaching ; après quoi il saura se poser les bonnes questions. On leur apprend de nombreuses matières, mais a-t-on pensé à leur apprendre qui ils sont ?
Isabelle Cataldo, coach professionnelle certifiée, pour ic-coaching.fr
Commenti